Depuis 1997, l’usage de l’amiante est interdit en France. Ce matériau, connu pour être pollueur et nocif pour la santé en cas de diffusion de fibres, est présent dans la majorité des bâtiments construits antérieurement. Il peut même être présent dans les bâtiments haussmanniens, suite aux projets de rénovation successifs qui ont eu lieu entre 1960 et 1997.
Enduit, faux plafonds, murs, peintures, dalles de sol ou encore revêtements de sol en plastique : l’amiante est partout. Mais tous les bâtiments contenant de l’amiante sont-ils dangereux ? Comment savoir si un bâtiment contient de l’amiante ? Comment prévenir les risques liés à l’amiante ? Quelles sont les obligations d’information en la matière ? Par exemple, les professionnels ont tendance à confondre trop souvent le Dossier Technique Amiante (DTA) et le Dossier Amiante Avant Travaux (DAAT).
Toutes ces questions trouvent leurs réponses grâce aux différents diagnostics amiantes proposés par l’équipe d’AMEA Synergie. Ils permettent d’identifier et de localiser les matériaux et produits contenants de l’amiante selon des listes définis que l’on soit locataires, acheteurs, copropriétaires ou artisans. Ces diagnostics s’adressent donc aussi bien aux professionnels qu’aux particuliers.
Vous trouverez le détail explicatif des diagnostics ci-dessous :
* Les listes A, B et C visent les matériaux et les produits à vérifier selon leur propension à libérer de la fibre d’amiante :
– Liste A : les flocages, les calorifugeages (tuyauterie) ou certains types de faux plafonds ;
– Liste B : les canalisations en amiante-ciment, les toitures en fibrociment ou les dalles de sol en vinyle amianté ;
– Liste C : les toitures, les façades, les plafonds et les faux plafonds, les revêtements de sol et de murs ou les ascenseurs.